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Table de réflexion nationale sur la réconciliation


 

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Le mercredi 10 mai, des chefs de file éclairés à travers le Canada avaient réuni pour participer à une table ronde sur la réconciliation dans le contexte multiculturel canadien.

Parmi les sujets discutés par les chefs de file éclairés figuraient les résultats du sondage sur le discours national sur la réconciliation de Reconciliation Canada. Pour en savoir plus sur les résultats: www.reconciliationcanada.ca/narrative-report (Le rapport est disponible en anglais seulement).


Où se situe la réconciliation dans le contexte multiculturel canadien?

À la table de réflexion nationale sur la réconciliation se réuniront des chefs de file éclairés éminents pour débattre de façon ouverte et animée de l’aspect multiforme de la réconciliation au Canada. L’appel à l’action de la Commission de vérité et de réconciliation, la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones et le sondage sur le discours national sur la réconciliation de Reconciliation Canada seront au cœur des discussions de la table de réflexion nationale sur la réconciliation qui se veut une tribune de dialogue et de réflexion dans le cadre de notre examen du paysage actuel de la réconciliation au pays.

L’année 2017 est une année charnière pour le Canada. Le 150e anniversaire de la Confédération canadienne survient à une époque où l’élan autour de la réconciliation connaît une croissance. Plus que jamais, il nous faut entamer les conversations nécessaires pour réaliser la réconciliation au Canada.


la modératrice Candy Palmater

Candy est une avocate convertie devenue humoriste féministe. Elle est actrice, auteure, conférencière internationale, activiste, comédienne et vedette primée de la radio et de la télévision. Elle a en outre été productrice déléguée de trois films sur la culture micmaque. Candy a créé sa propre série télévisée primée, The Candy Show (APTN), récipiendaire de plusieurs prix, dans laquelle elle a aussi joué. À CBC Radio One, Candy a animé plusieurs émissions : The Candy Palmater Show, Q, DNTO et participe à Because News et à The Next Chapter. Vous pouvez l’entendre comme narratrice dans l’émission télévisée True North Calling, au programme de CBC. Et elle a été panéliste dans le cadre du concours Canada Reads 2017.

Candy a écrit et animé de nombreuses émissions, notamment Ab Day Live, Indspire Awards et le imagineNATIVE Film Fest Awards Show.

Candy a été major de sa promotion à la faculté de droit de l’Université Dalhousie puis a travaillé dans un grand cabinet, pratiquant le droit du travail et des Autochtones, jusqu’à ce que le show-biz frappe à sa porte.

Avant de se lancer dans le milieu du divertissement à temps plein, Candy a dirigé pendant dix ans l’éducation des Premières nations au ministère de l’Éducation de la Nouvelle-Écosse. Elle poursuit actuellement ses études à l’Université Saint-François-Xavier en vue d’obtenir une maîtrise en éducation. Elle a aussi enseigné dans le programme de l’année de transition de l’Université Dalhousie.

Candy passe la plus grande partie de son temps dans les aéroports et les avions, alors qu’elle parcourt le globe pour s’adresser à des auditoires, grands et petits, et leur parler de la force de l’amour, de la bonté et de l’acceptation de soi.


Parmi les chefs de file éclairés éminents, mentionnons :

Le chef Robert Joseph, de l’Ordre de la Colombie-Britannique

 

Le chef Robert Joseph, de l’Ordre de la Colombie-Britannique, est un vrai artisan de la paix dont la vie et la carrière sont des exemples de son engagement personnel. Chef héréditaire de la Première Nation des Gwawaenuk, chef Joseph a dévoué sa vie entière à rabattre les différences engendrées par l’intolérance, le manque de compréhension et le racisme, au pays comme à l’étranger.

Sa vision quant aux répercussions dévastatrices de ces éléments sur la vie, la famille et la culture s’est concrétisée d’après son expérience du régime des pensionnats indiens au Canada.

Étant l’un des derniers locuteurs de la langue des Kwakwaka’wakw, chef Joseph est un éloquent et inspirant orateur de maison de cérémonie. Il partage ses connaissances et sa sagesse dans la grande maison à titre de communicateur linguistique de l’Université de la Colombie-Britannique, de conservateur d’art reconnu mondialement et de coauteur de Down from the Shimmering Sky: Masks of the Northwest Coast.

En 2003, chef Joseph a reçu un doctorat honorifique en droit de l’Université de la Colombie-Britannique pour ses réalisations uniques en servant la Colombie-Britannique et le Canada. En 2012, il a reçu la médaille du jubilé de diamant du très honorable David Johnston, gouverneur général du Canada. En 2014, il a obtenu le Jack P. Blaney Award for Dialogue de l’Université Simon Fraser ainsi qu’un doctorat honorifique en théologie de la Vancouver School of Theology pour son travail en réconciliation et en restauration des relations entre les peuples autochtones et tous les Canadiens. En 2015, chef Joseph a reçu un prix d’excellence des sous-ministres dans la catégorie Collaboration et partenariats, et a été nommé membre de l’Ordre de la Colombie-Britannique, la plus haute distinction de la Colombie-Britannique. En 2016, chef Joseph s’est vu décerner le Wallenberg-Sugihara Civil Courage Award et le Indspire Lifetime Achievement Award.

Chef Joseph est présentement ambassadeur de Réconciliation Canada et membre du Conseil des aînés de l’Assemblée nationale des Premières Nations. Il fut également directeur général de la Indian Residential School Survivors Society (Société des survivants des pensionnats autochtones de la Colombie-Britannique) et agit à titre de témoin honoraire pour la Commission de vérité et réconciliation (CVR) du Canada. En sa qualité de président du conseil d’administration de la Native American Leadership Alliance et d’ambassadeur pour la paix et la réconciliation à l’Inter Religious Federation for World Peace (IFWP), le chef Joseph s’est entretenu avec les dirigeants de l’Afrique du Sud, d’Israël, du Japon, de la Corée du Sud, de la Mongolie et de Washington (D.C.), afin d’apprendre et de leur faire part de sa vision de la foi, de l’espoir, de la guérison et de la réconciliation.


Victoria Grant

 

Victoria Grant, IAS.A, est membre du clan Loon de la nation Teme-Augama Anishnabai Qway (femme du peuple des eaux profondes). N’Dakimenan (notre territoire traditionnel) est le secteur de Temagami au nord de l’Ontario. Elle est membre de la Première Nation de Temagami.

Les plus importants rôles qu’elle a tenus sont ceux d’épouse, de mère et de grand-mère. Elle a épousé un homme non autochtone il y a de cela 40 ans, et sa vie a toujours englobé deux mondes : sa culture autochtone et celle de son mari. Aujourd’hui, elle passe son temps entre Stouffville et Temagami. Elle a trois garçons, dont deux sont mariés. Sa plus grande joie est le temps qu’elle passe avec ses trois petits-enfants.

Tout au long de sa carrière, toujours avec passion dans son travail et ses activités bénévoles, elle a encouragé ardemment une mobilisation accrue des Autochtones.

Victoria a été très chanceuse, car elle a eu une carrière bien diversifiée, étant d’abord la première administratrice de la bande de la Première Nation de Temagami. Depuis, la plupart de ses activités ont touché le domaine de l’administration et de l’administration publique au sein de la communauté autochtone.

Elle est une fervente bénévole depuis toujours. Elle a siégé aux conseils d’administration de la fondation, à l’échelle locale, provinciale et nationale. Elle est l’une des fondatrices de la Fondation communautaire de Temagami et a été présidente de l’organisation. À l’heure actuelle, elle est présidente des Fondations communautaires du Canada, ancienne présidente du Cercle sur la philanthropie et les peuples autochtones au Canada, directrice de la Counselling Foundation of Canada, et membre du comité consultatif sur la Médaille du souverain pour les bénévoles du gouverneur général.


Emmanuel Jal

 

Malgré un début de vie difficile comme enfant-soldat du Sud-Soudan, région dévastée par la guerre au début des années 80, Emmanuel Jal a su surmonter les nombreuses difficultés, pour enfin devenir un artiste accompli et acclamé ainsi qu’un ambassadeur pour la paix.

En 2008, un long-métrage documentaire sur sa vie a paru. Le film, War Child, a remporté 12 prestigieux prix dans des festivals du film à l’échelle internationale. La même année, son autobiographie, également appelée War Child, a été publiée par Little, Brown.

Emmanuel a sorti cinq albums ayant été en nomination pour un prix et a collaboré et s’est produit avec des artistes tels que Lauryn Hill, Peter Gabriel, Nelly Furtado, Darryl « DMC » McDaniels, Nile Rodgers et Alicia Keys.

Emmanuel a joué avec Reese Witherspoon dans le film de Warner Brothers, Le beau mensonge, qui raconte le périple de quatre jeunes réfugiés soudanais (d’après Les garçons perdus du Soudan) qui obtiennent leur visa pour les États-Unis.

En 2010, Jal donne le coup d’envoi à la campagne « We Want Peace », qui lance un appel à la paix, la protection et la justice pour tous au Soudan, et réclame qu’on mette fin à tous les conflits en cours dans le monde. Cette campagne est soutenue par plusieurs dirigeants et vedettes de renom, notamment George Clooney, Alicia Keys, Richard Branson, Nelson Mandela, Jimmy Carter et Kofi Annan.

Emmanuel a également créé Jal Gua, un superaliment en poudre sans gluten.


L’honorable Ratna Omidvar, C.M., O.Ont.

 

Ratna Omidvar est une experte de renommée mondiale en matière de migration, de diversité et d’inclusion. En avril 2016, le premier ministre Trudeau nomme Ratna au Sénat du Canada à titre de sénatrice indépendante représentant l’Ontario.

Ratna est directrice générale fondatrice et actuellement éminente professeure invitée à Global Diversity Exchange (GDX), de l’École de gestion Ted Rogers, de l’Université Ryerson.

Ratna est actuellement coprésidente du Global Future Council on Migration du Forum économique mondial. Ratna dirige également l’Environics Institute et l’organisme Samara. Elle est présidente émérite du Toronto Region Immigrant Employment Council, et ex-présidente de Survie Syrie.

Ratna est récipiendaire de l’Ordre de l’Ontario (2005) et membre de l’Ordre du Canada depuis 2011; ces deux honneurs soulignent ses efforts dans le domaine de la défense des droits des immigrants et de réduction des inégalités au Canada. Ratna est coauteure de Flight and Freedom: Stories of Escape to Canada (2015).


L’honorable Perrin Beatty

 

L’honorable Perrin Beatty est président et chef de la direction de la Chambre de commerce du Canada, l’association nationale de gens d’affaires la plus importante et la plus représentative du Canada, regroupant 200 000 membres. À ce titre, Perrin est le principal porte- parole de la Chambre de commerce du Canada. Il présente les positions de principe des membres auprès du gouvernement fédéral, des organismes internationaux, des médias et du public.

Avant de se joindre à la Chambre de commerce du Canada en août 2007, Perrin était le président et chef de la direction des Manufacturiers et Exportateurs du Canada (MEC).

Descendant d’une des familles les plus connues du secteur manufacturier, Perrin a grandi à Fergus en Ontario et a achevé ses études universitaires à la University of Western Ontario en 1971. L’année suivante il gagnait la confiance des électeurs et était élu à la Chambre des communes à titre de député progressiste conservateur et devenait, en 1979, ministre d’État (Conseil du Trésor) du gouvernement de M. Joe Clark et devenait, de ce fait, la plus jeune personne jamais appelée à servir au sein du Cabinet fédéral. Il a également assumé six autres postes ministériels dans d’autres gouvernements progressistes conservateurs, notamment comme ministre du Revenu national en 1984, Solliciteur général en 1985, ministre de la Défense en 1986, ministre de la Santé national et du Bien-être social en 1989, ministre des Communications en 1991 et, enfin, Secrétaire d’État aux Affaires extérieures en 1993.

En 1994, Perrin a siégé au sein de plusieurs conseils d’administration du secteur privé et a travaillé comme consultant dans le domaine des communications. Il a également été professeur invité honoraire à la faculté des Sciences politiques, University of Western Ontario, où il a enseigné un cours sur les technologies de la communication et la politique publique. En outre, il rédigeait un article hebdomadaire sur le gouvernement et la politique dans un des grands quotidiens du Canada. De 1995 au 1999, Perrin a été président-directeur général de la Société Radio-Canada (SRC-CBC). En 2008, Perrin a été nommé chancelier de l’institut universitaire de technologie de l’Ontario.

Perrin a siégé au sein de plusieurs comités consultatifs du gouvernement du Canada et il a été membre du conseil d’administration du Conseil international du Canada de 2010 à 2015. Il est, par ailleurs, membre du Comité consultatif du Canadian Defence and Foreign Affairs Institute et membre de conseil d’administration de Mitusi Canada.


L’honorable Renée Dupuis, C.M., Ad. E.

 

Avocate et auteure, madame Renée Dupuis a été nommée sénatrice indépendante au Sénat du Canada en novembre 2016.

Membre du Barreau du Québec, elle se spécialise dans les domaines des droits de la personne, du droit relatif aux Autochtones et du droit administratif. Elle détient une accréditation en médiation civile et commerciale du Barreau du Québec.

Elle a occupé la fonction de vice-présidente de la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse du Québec (août 2011-octobre 2016). Elle a été désignée Témoin Honoraire de la Commission Vérité et Réconciliation du Canada. Elle a présidé la Commission des revendications particulières des Indiens, une commission fédérale d’enquête et de médiation (2003 à 2009). Elle a agi à titre de conseillère juridique de nombreux groupes autochtones du Québec et de consultante en matière autochtone auprès du gouvernement du Canada et du gouvernement du Québec. Elle a de plus une longue expérience des négociations bipartites et multipartites avec le gouvernement fédéral et les gouvernements provinciaux. Elle a présidé le comité du Barreau du Québec sur le droit en regard des peuples autochtones de 2002 à 2011.

Elle a été membre du comité chargé de la révision de la Loi canadienne sur les droits de la personne (2000). Elle a siégé comme commissaire à la Commission canadienne des droits de la personne de 1989 à 1995 où elle s’y est plus particulièrement intéressée à la discrimination contre les femmes, au harcèlement sexuel, à la parité salariale et à l’équité en emploi. La Commission canadienne des droits de la personne a publié l’étude qu’elle lui a commandée sur le traitement des plaintes de harcèlement sexuel (1997). Elle participe depuis 30 ans à titre professionnel et à titre personnel à des activités de formation à l’intention des femmes et à des organismes de soutien aux femmes.

Elle a été membre du groupe de travail conjoint Barreau du Québec-Collège des Médecins du Québec sur le droit de mourir dans la dignité (2010-2011). Elle a présidé le Comité du Barreau du Québec sur le Droit en regard des peuples autochtones de 2002 à 2011.

Elle s’est impliquée dans plusieurs groupes de soutien aux femmes, à titre de bénévole, et plus particulièrement au groupe les Relevailles pendant 10 ans. Elle a été membre du collectif qui a créé le Centre de Santé des femmes de Québec.

Elle a été associée au programme de recherche de la Commission royale sur les peuples autochtones pour laquelle elle a produit diverses études (1992-95). La Commission royale a publié, en 1995, le rapport dont elle est co-auteur: L’obligation de fiduciaire de la Couronne du Canada envers les peuples autochtones dans le contexte de l’accession du Québec à la souveraineté.

Elle a été chargée de cours en droit administratif à l’École nationale d’administration publique où elle y a de plus conçu et réalisé des programmes de formation sur les droits de la personne et le développement des institutions démocratiques à l’intention de hauts fonctionnaires des pays de la Francophonie.

Ses réalisations professionnelles et son engagement personnel ont été soulignés de diverses manières. Elle a été nommée membre de l’Ordre du Canada en 2005. En 2012, le Barreau du Québec lui a décerné la Médaille du Barreau et l’Université lui a remis un Doctorat en Droit honoris causa.

Elle est récipiendaire de la distinction Advocatus emeritus, créée par le Barreau du Québec en 2007. Elle a reçu le Prix Christine-Tourigny 2004 du Barreau du Québec.

La Fondation du Barreau du Québec lui a décerné le Prix du concours juridique 2001 (catégorie monographies) pour son ouvrage : Le statut juridique des peuples autochtones en droit canadien (Éditions Carswell, 1999). Le Prix du Gouverneur général 2001 (études et essais) lui a été attribué pour son livre: Quel Canada pour les Autochtones ? La fin de l’exclusion (Boréal, 2001). Cet ouvrage est paru en anglais sous le titre : Justice for Canada’s Aboriginal Peoples (Lorimer Publishers,Toronto, 2002).

Elle a également publié. Max «One Onti» Gros-Louis, Constance et détermination (20080, Tribus, Peuples et Nations ( Boréal, 1997) La question indienne au Canada (Boréal, 1991) et et de nombreux articles dans des revues spécialisées et de vulgarisation. Elle est l’auteure de plusieurs ouvrages et articles et elle a donné de nombreux séminaires et conférences au Canada et à l’étranger.

L’importance de sa contribution a été reconnue dans Leading the Way : Canadian Women in the Law (Soloway &Costante, Lexis Nexis, 2015). Elle a reçu le Prix de la YWCA 2002, dans la catégorie femmes de profession, pour son implication personnelle et professionnelle relativement à l’avancement de la cause des femmes.


La table de réflexion nationale sur la réconciliation s’inscrit dans le cadre du congrès All My Relations Gathering – Our Collective Way Forward Conference et du Congrès des fondations communautaires de 2017.

Cette initiative sera présentée par Reconciliation Canada en collaboration avec Fondations communautaires du Canada et le Cercle sur la philanthropie et les peuples autochtones au Canada.


Réconciliation en action : une stratégie d’engagement nationale
est un projet de premier plan de Canada 150. Ce projet est financé en partie par le gouvernement du Canada.

Reconciliation in Action: A National Engagement Strategy,
a Canada 150 Signature Project, is funded in part by the Government of Canada

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